
Original cet orgue d'Australie avec des tuyaux peints,
on en trouve également en Angleterre et aux USA.
En France, le plus connu est l'orgue Anglais de l'église
Saint-Malo de Dinan en Bretagne :

Le blog de la musique classique et de l'orgue
Né le 5 Juillet 1952 à Coupvray (Seine-et-Marne), Denis COHEN commence ses études au Conservatoire National Supérieur de Paris dans les classes de Piano, d 'Harmonie, de Contrepoint, d' Analyse, d'Accompagnement au piano et de composition. Il en sort avec 4 Prix puis obtient une Médaille d'argent au Concours International de Piano de Finale -Ligure (Italie). En 1982, il devient pensionnaire à la Villa Medicis à Rome et reçoit deux prix Sacem. Il enseigne l’orchestration au CNSM de Paris.
On a souvent classé Denis Cohen dans la « famille »sérielle ; il récuse cependant le clivage sériel/spectral que l'on présente souvent comme réalité de la musique contemporaine en France (dans son article « Ulysse et les sirènes»). Dans ses premières oeuvres Fusion, (79), Hamilton multiphonic quintett (80), Multisources pour orchestre (80), Trames pour trio et bande (80), Denis Cohen revendique en effet l'influence de Stockhausen avec lequel il n'a par ailleurs jamais travaillé.
En 1980, il dirige l'Ensemble Intercontemporain, dont il devient le chef-assistant l'année suivante. Depuis Il est invité régulièrement à diriger une trentaine de formations européennes, ensembles , orchestres , choeurs en Europe ainsi qu'en Australie et en Israel.
Le chef d'orchestre avise un de ses musiciens :
- Michel, je voudrais que tu rases cette longue barbe.
- Chef, ma barbe ne m'empêche nullement de jouer convenablement.
- Je veux bien le croire, mais elle m'empêche de voir de quel instrument tu joues !
Philippe Mion est né en 1956 à Tournan-en-Brie (Seine et Marne). Enfant choriste, guitariste classique, il se detourne des études scientifiques et opte pour la musique en 1974, poursuivant sa formation musicale au C.N.S.M. de Paris (Prix de composition en 1977), et en Musicologie à la Sorbonne. |
| La découverte des musiques électroacoustiques a été pour lui une révélation et il trouve dans l'orientation musicale développée alors au sein de l'INA-GRM le terrain favorable à l'épanouissement de sa volonté créatrice. |
|
| Le catalogue - déjà abondant - de Philippe Mion reflète ce triple parcours et comprend des oeuvres acousmatiques pures pour le concert (Suite Faure, 1982; L'image éconduite, d'après Henri Michaux, 1983-84; Statue, 1985 Confidence, 1994) ou pour le ballet (Carnaval, masque des saisons, pour la Compagnie Kaléidanse, 1985); mixtes comme Dix chansons précieuses, 1987-89 (soprano et bandes), Voix d'ailes, 1991-94 (trio à cordes et bande), ou encore, en 1992-93, Léone, opéra pour dix chanteurs et bande; des compositions instrumentales (Pièces, pour violons, violoncelles, guitare, corps sonores divers - 1994) ou formations électroniques "live" (Méditation, pour trio de synthétiseurs, 1980). |
|
L'orchestre départemental d'harmonie de Seine-et-Marne existe depuis une vingtaine d'années, à travers les stages organisés annuellement ou par l’organisation de répétitions organisées ponctuellement, suivant les besoins.
La création d'une résidence pour l'orchestre semble être la solution retenue avec les affaires culturelles départementales, consistant en cinq répétitions et deux concerts par an. Cette tentative est une première, et va se concrétiser par deux concerts prévus à la Ferté Gaucher, qui recevra donc l’orchestre au cours de l’année. Thierry Rose reste le directeur pour cette initiative.
Voici le site de l'orchestre :
http://www.odh77.fr/index.php?option=com_samsitemap&Itemid=59
L'Opéra national de Paris entamera samedi sa première tournée lyrique au Japon avec son orchestre et ses choeurs, un déplacement d'une "importance inégalée" pour la compagnie française, qui donnera neuf représentations à Kobé puis Tokyo jusqu'au 31 juillet.
La tournée s'inscrit dans le cadre des célébrations du 150e anniversaire des relations franco-japonaises et du jubilé du groupe de télévision nippon Kansai Telecasting Corporation, producteur de cette opération.
L'Opéra de Paris fera le voyage avec près de 300 collaborateurs (musiciens, choristes, techniciens, administratifs), soit un peu moins du cinquième de son effectif (1.680 salariés permanents).
Les trois productions lyriques présentées, au Hyogo Performing Arts Center de Kobé (19, 20 et 21 juillet) puis au Bunkamura Orchard Hall de Tokyo (23, 26, 27, 29, 30 et 31), déclineront le thème de la passion amoureuse, récurrent à l'opéra, notamment autour de la figure monstrueuse de Barbe-Bleue.
Le directeur de l'Opéra de Paris, le Flamand Gérard Mortier, avait indiqué en mars 2007 avoir accepté d'effectuer cette tournée "à la condition de pouvoir donner deux productions d'ouvrages du XXe siècle", la modernité musicale et théâtrale étant son cheval de bataille.
Ainsi, il présentera au Japon un diptyque constitué du "Château de Barbe-Bleue" (1918) de Bela Bartok et de "Journal d'un disparu" (1921) de Leos Janacek, de même que le rare "Ariane et Barbe-Bleue" de Paul Dukas, dont l'Opéra de Paris a fêté en 2007 le centenaire de la création.
Le Japon a découvert l'opéra occidental pour la première fois en 1894 en accueillant un ouvrage français, "Faust" de Charles Gounod.
L'éminent organiste de l'église Saint-Eustache à Paris de 1906 à 1944 (année de son décès);
Joseph BONNET, vint régulièrement de 1927 à 1940 en Seine-et-Marne dans la propriété de
ses beaux-parents à CONDE-SAINTE-LIBIAIRE, près d'Esbly, dans laquelle ceux-ci firent
construire pour lui un orgue par Victor Gonzalez en 1931, placé dans une grande pièce
du rez de chaussée.
Le 21 Octobre 1934 il inaugure des grandes orgues de la cathédrale de MEAUX restaurées.
Le site officiel de Joseph Bonnet, animé par sa fille :
http://www.josephbonnet.org/